Choquant, ça rime avec Rouen.
Choquant de voir un prêtre égorgé dans son église au moment de la messe.
Comment ne pas penser à ce qui se passait durant les heures sombres des guerres
de religion ? Pour le coup cela rime avec radicalisation.
J’ai ouvert le poste un moment
sur I<TELE et je l’ai vite refermé. Rien de plus insupportable qu’un
journaliste qui n’a aucune information et qui doit tenir l’antenne parce que
c’est son gagne-pain. Qu’il faut pour je ne sais quelle raison donner
immédiatement une information. Pour moi cela rime aussi avec désinformation.
J’ai eu le temps de voir que le Président
était là. Il fait du social ou de la communication alors que depuis le massacre
de Charlie Hebdo, il aurait dû être en conclave pour trouver des solutions aux
problèmes de sécurité de notre Nation.
Cela rime toujours avec
radicalisation, ce mot paravent, qui évite toute autre spécification. Ce mot ne
veut rien dire, la langue française, poussée par les médias invente des mots
qui n’ont pas de sens. Je comprends derrière ces mots qu’il y a des gens,
musulmans ou pas mais qui le deviennent pour propager les thèses et actes
délictueux de la mouvance salafiste.
J’entends tout de même que l’on parle de guerre. Ce qui m’ennuie c’est
que nos politiques n’en prennent même pas la mesure.
Toujours les mêmes mots pour
endormir une opinion qui se terre dans ses peurs et ne demande pas d’autre
réaction. Ces allures contrites et convenues quand les drames imprévus sont
survenus. A quoi servira un hommage de la Nation si pendant ce temps rien n’est
fait pour endiguer de nouveaux méfaits. A longueur de journée, les images de la
télé montrent les bouquets sur les pavés, c’est preuve de compatissons mais
cela ne suffit pas pour faire bloc et montrer que nous avons besoin d’actions
et de résultats. Je crois aussi que cela permet de passer de la publicité. Il
est fait commerce de la peine des gens victimes de la folie destructrice d’une
minorité incontrôlée.
Il me semble qu’un général
d’armée quand il veut gagner une bataille et ensuite la guerre, prépare une
stratégie pour en tirer un plan de bataille qu’il partage avec quelques alliés.
Après tout la Belgique et l’Allemagne sont dans le même bain. Attendez voir
comment cela va se passer avec les remaniements prévus en Turquie. Erdogan
aussi fera des radicalisés.
Français, secoués, attaqués, on
pleure et on se lamente depuis plus d’un an et nous n’avons rien fait. Nous
n’avons surtout pas entendu les musulmans « modérés » tenter de nous
aider. Eux-mêmes sont attaqués sur leurs fondements. Leurs courants les
empêchent de bouger, sunnites, chiites, salafistes, soufis…qui va décider
d’amender le Livre Fondamental ? C’est
vrai que ceux qui tentent d’en propager la moindre pensée sont vite éliminés…
Car c’est avec cela que vient la
guerre de religion dont on ne veut pas dire le nom. On n’en est pas encore là dira-t-on encore une fois, mais
Saint-Etienne-du-Rouvray cela y
ressemble bigrement. Un symbole en tout cas.
Donc le Président est présent,
mâchoires serrée, tête basse il s’est montré, prosterné, informé et communiqué,
à chaud pour tenter de gagner encore quelques voix. Tous ses ministres suivent
ses pas. Que va-t-il faire enfin pour les Français ?
Va -t-il décider d’envoyer « les
fichés S » de tous les quartiers (encore un mot que je hais) vers certains pays du Moyen Orient pour rendre
la monnaie de leurs pièces à des gouvernements qui financent le monde du
terrorisme depuis des décennies. Cela aurait le mérite de faire réfléchir ces
pays pour quelques décennies. Mettre la pagaille chez eux et serait peut-être
plus simple que de mettre de l’ordre chez soi.
Pour exemple,
pourrait-il inciter le Qatar à vendre le PSG et lui demander de financer des
cachots pour enfermer ceux qui ont décidé de partir au Jihad ou qui en
reviennent sans que l’on nous prévienne ? Et qu’on laisse déambuler sans les
surveiller de près ?
Je vous bassine
au cours de mes voyages en vous parlant du changement de comportement des gens
lorsque je cherche à placer en début de conversation « France » ou
« Paris ». Partout je trouve que l’on se réjouit mais pas au Maghreb
depuis quelque temps. Quand le tourisme amenait de l’argent cela existait
encore, ils prenaient plaisir à tenter d’en prendre plus que l’on ne voulait leur
en laisser. Mais les comportements commencent à se tendre. Plusieurs fois
depuis deux ans, on m’a fait comprendre que je ferai mieux de retourner d’où je
viens ; avant ce n’était jamais arrivé depuis 16 ans que j’y vais. Pendant
20 ans, j’ai dirigé avec respect des ressortissants de tous les pays arabes,
qui viennent nous aider à souder ou forger. Beaux métiers, durs et qui sentent
mauvais, que ne veulent plus faire les français depuis belle lurette.
Revenons à L’Histoire de France.
Qu’on le veuille ou non, aujourd’hui facile de constater que la colonisation ou
le protectorat a fait des dégâts. Les élites encore en place, formées pour la
plupart en France ou par des français ont une certaine condescendance pour
leurs coreligionnaires qui n’ont pas étudié. La langue arabe ne permet pas de
sortir du ghetto intellectuel de la contrainte du Coran
qui organise leur vie toute entière. Par-dessus le marché, lâchement, nous leur
avons laissé une administration dont la compétence est sujette à caution. Pour
obtenir un papier, même après avoir donné l’obole règlementaire, mieux vaut
être bien armé …, de patience en particulier. Comment leurs ancêtres, leurs
pères pourraient nous aimer ?
Les gens qui ont émigré, même
ceux qui nous ont aidé n’ont pas toujours été bien accueillis et de cela est né
un ressentiment vis à vis de la France, de ceux qui y habitent et paraissent
privilégiés.
Dans nos villes, il y a de jeunes
gens de nationalité française et d’origine étrangère, maghrébine en
particulier, qui savent pertinemment que leur avenir est bouché. Cela quel que
soit le niveau d’études qu’ils auront atteint. Une fois diplômé leur carte
d’identité les condamne à être rejetés.
Ceux qui ont
réussi à faire souche ici ont des familles encore au pays auxquels ils envoient
régulièrement des subsides non négligeables qui gonflent sensiblement le revenu
du pays de leurs aïeux. Ce qui en fin de mois ne fait pas toujours la joie des
français qui voient cet argent partir « là-bas ». Au plan social vis
à vis de cette population, les assistantes en font plus pour dédouaner notre
administration donnant conseils et avantages avec plus de précision qu’elles ne
le font pour des français moins enclins à se plaindre et à réclamer. L’aumône
n’est pas dans leurs idées, mais alimente un sentiment d’injustice de la
société, créé un ressentiment de défiance latent face aux musulmans. Une
fracture sensible de la société car l’on se souvient des récits des croisades.
Dans nos écoles, fut un temps, on nous en parlait pas avec les nuances que l’on
pourrait souhaiter de l’Histoire et de ses vérités…
Quand vous n’avez pas de travail,
que tout semble bouché, comment est-il possible d’exister ? Comment
pouvez-vous vous estimer ? En vendant de la drogue, devenant souteneur de
vos sœurs au sein de la cité ou bien de décider de vous trouver un but :
vous venger, vous venger de cette société qui vous a rejeté.
Nos jeunes gens français, bien
nés, après le Bac peuvent encore décider de s’inscrire dans une Université en
Europe ou aux Usa. Un jeune maghrébin ne le peut pas. Trop dur pour lui ;
apprendre une quatrième culture est au-dessus de ses forces. Il ne peut pas
rentrer au pays non plus, ses codes parentaux sont dépassés et on ne l’y aime
plus. Passez un moment de juillet à septembre à Marrakech ou Agadir et vous
pourrez mieux comprendre…
Une chose que
l’on oublie et qui me choque aussi, mais dont personne ne parle, c’est ce que
porte au fond d’elle-même la langue française. J’ai dit dans un autre article
que la langue est le ciment d’un pays. La langue française est plus que cela.
Ce fut à un long moment le langage diplomatique. La langue des puissants. Dans
toutes les cours d’Europe, on parlait le français qui avait remplacé le latin. A
Londres, à Cardiff ou à Perth ou Christchurch les gens aujourd’hui parle encore
français même s’il le prononce mal et ne retiennent que nos onomatopées,
(oulala, aïeaïeaïe…, dans quoi me suis-je engagé ?).
Trêve de plaisanterie, un
américain a noté que notre langue qui éclaire l’esprit de l’époque des Lumières
est haï par les salafistes. La laïcité est née de Voltaire et Diderot…, la
séparation de l’Eglise et de l’Etat, c’est ce que le Coran ne veut pas. Notre
langue est porteuse de Liberté, d’Egalité et de Fraternité, c’est notre
Histoire de France qui veut cela.
Si les anglais ont voulu la
déformer, c’est pour la singer avant de se l’accaparer et de l’imposer à notre
place. Joli tour de passe-passe. Mais les autres peuples l’ont jugée
différemment, les musulmans la combattent savamment. Leurs élites sont
contestées, justement parce qu’elles l’ont apprise. Ils pensent toujours avec
elle et ses fondements, leurs concitoyens le leur reprochent ouvertement.
Ainsi, les couches actives de la mouvance islamiste (même modérée) se
mobilisent pour l’arabisation dès le plus jeune âge de l’éducation. Hassan II
l’a fait, même si son fils aujourd’hui, a fait machine arrière. Sans langue de
stature internationale les jeunes du pays ne peuvent avancer dans leurs idées ;
étudier à l’université demande de se préparer car tous les professeurs sont
formés en grande partie à l’étranger.
Le français est aussi entré à
l’Eglise avec le concile Vatican II, en remplacement du latin. Si dans les
mosquées salafistes que nous avons laissé se monter, sans les contrôler, par
facilité, les imams haranguent les jeunes esprits, les anciens ne disent rien. Dans
leur subconscient, ils savent que notre langue a détruit une part de leur vie.
Elle a introduit dans le pays d’origine bien des déconvenues passées et
présentes. Avant d’émigrer, ils ont été dépréciés, battus, colonisés et
maintenant ils sont rejetés. De plus, aujourd’hui l’ascenseur social espéré ne
leur donne pas les moyens de s’intégrer. Ils se sentent trompés, nos pratiques
les ont ghettoïsés. Un terreau pour se révolter, pour instrumentaliser leur haine
pour notre société, dans laquelle la religion n’est pas si éloignée. Toute
notre culture en est imprégnée. Le plus pur des athées fait appel à Dieu dès
qu’il est embêté.
En façade, nous avons laissé
périr notre esprit religieux. Les églises se sont dépeuplées. Sous couvert de laïcité la plupart d’entre
nous s’est laissée mener par un consumérisme effréné et un individualisme
exacerbé. L’organisation a horreur du vide, les communautés émigrées se sont
formées. Remarquez bien que nous ne faisons pas autre chose quand nous sommes à
l’étranger. Même d’horizons différents, on cherche à se regrouper entre
français…pour tenter d’exister. Une Union des Français de l’Etranger est en
place grâce à de bonnes volontés, avec des députés et des sénateurs pour les représenter.
Avant 68, l’esprit religieux plus
formel aujourd’hui servait à équilibrer l’éducation de l’école publique. On
entendait des choses similaires à l’église et à l’école de la République. La
morale était entendue à défaut d’être comprise, mais elle existait. C’était un
sujet avant de commencer la classe, chaque matin. Aujourd’hui rien de cela, le
marketing sauvage a dévalué la pensée spirituelle. Et la « morale » à
défaut d’instruction civique, c’était cela, un moyen de créer une certaine
unité. Je ne dis pas qu’il faut recommencer comme cela. L’Histoire ne se répète
pas, mais trouver une autre forme pourrait aider à reformer une certaine union,
revenir à de vraies responsabilités individuelles et collectives. Pour bien des gens, l’esprit de la République
ne va pas de soi. Or un homme qui ne pense pas par lui-même est une âme
incapable de se diriger. Nous en sommes là, je sais, c’est ringard de penser
comme cela. Notez que j’ai parlé de religion car pour y entrer on est
accompagné, alors maintenant que Malraux est mort, aborder la spiritualité du
siècle en cours serait un plus vaste sujet. Entré dans le débat peut-être serait-il
capable de refaire l’unité des français, remarquez !
Pour espérer, se projeter dans un
proche avenir, le chômage n’arrange rien ni l’assistance sociale. L’un et
l’autre vous renvoie à un manque d’estime de soi. Il vous confine dans des
endroits où vous n’existez pas, où l’on ne vous voie pas. C’est vrai quand vous
êtes cadres, certains n’y résistent pas, alors pensez donc si vous êtes employé
ou ouvrier et des fois même pas cela. Vous n’existez pas, alors vous cherchez
une voie pour vous retrouver et le mieux est de se désigner un ennemi : la
société qui vous a humiliée.
Une dernière chose m’a rendu
malade il n’y a pas longtemps. Je veux évoquer la douleur d’une maman et de son
grand fils élevé dans le meilleur esprit, scolaire, sportif, culturel et qui
pourtant s’est tourné vers une mosquée. Ce n’est pas un terroriste. Cependant, élevé
dans le sérail de la religion catholique, il a plongé dans le culte musulman
pour trouver m’a-t-il dit « des réponses à ses questions ». Nous en
sommes là. Ce n’est pas de la radicalisation, c’est le résultat d’une éducation
gauchisante qui refuse l’Histoire d’un pays, en croyant que c’est mieux
ailleurs. On regardait en URSS, le phare s’est éteint. Le libéralisme est-il
une panacée ? On regarde vers l’Allemagne ou en Grande Bretagne, on
cherche un système au lieu de s’atteler à un travail génial : comment la
France de maintenant, avec ses vieux cons (dont je suis évidemment) et ses
jeunes gens plein d’allant, pourrait repartir de l’avant en s’appuyant sur ce
qu’elle a de meilleur, l’Histoire qui fait encore sa grandeur.
Il y en a assez de se voir pris
pour des demeurés par des élites qui n’ont vécu que dans des fauteuils qui leur
sont prêtés par des vieux maîtres sans idées qui ont prospéré au frais des
administrés. Ils ne connaissent rien de la vie du pays. Ne regardent que Paris.
Pour diriger la vie de ce pays, on s’appuie encore sur des partis ? Quelle
légitimité ont-ils ? 500000 personnes ? un million d’encartés de droite ou de
gauche ont-ils le droit de représenter 65 millions de personnes ?
Les citoyens sont responsables de
cet état de fait : ils ont démissionné. Alors ne pas les embêter, ne pas
les déranger en voulant changer, sans doute cela arrange bien des anciens. Mais
quid des jeunes gens et plus loin des petits enfants ? Les idées de droite
ou de gauche ne pourront rien modifier. Tout le monde est d’accord, les médias
le répètent à l’envie instantanément, la polémique suit, car les hommes de
plume et de micro, n’ont plus de pamphlets pour d’autres avenirs à nous
instiller.
Saint-Etienne-du-Rouvray, c’est
assez. Il nous faut une analyse et mettre en place les changements qui
pourraient faire reculer « l’ennemi ».
Qui est-il, si l’on parle de
guerre ? Qui est capable de l’identifier ? d’en décrire les
froidement la stratégie ? Daesh ou EI est une entité qui revendique tout ce qui
peut faire du bruit pour lui permettre d’exister. Or, l’ennemi est aussi
rampant, tapis dans l’ombre de nos villes comme je l’ai dit. Peut-être faut-il
frapper en Syrie, mais si l’on ne fait rien ici, c’est peine perdue puisqu’une
part de l’ennemi, c’est la France elle-même qui l’a élevé et le nourrit encore.
Quand aura-t-on un chef pour nous
diriger ? Quand va-t-on mettre en place les hommes compétents au service
du renseignement ? Quand va-t-on retrouver des villes et des villages où
l’on peut entrer en toute tranquillité ? Comment commencer à traiter les
sujets faciles pour créer un début d’unité ? Cet état d’urgence a-t-il une
efficacité sans donner des ordres complets pour faire coopérer toutes les
unités chargées de notre sécurité. Les Marocains ont trouvé. Ils se sont donnés
les moyens de quadriller la vie de chaque quartier de chaque ville pendant que
Sarkozy supprimait les services de Renseignements Généraux. L’exécutif suivant
a trouvé cela correct et ne les a pas encore remis en place.
Que dire de l’antagonisme des
services de la Nation, police, gendarmerie, pompiers, urgentistes qui ne
coopèrent pas. Faut-il une guerre pour remettre au gout du jour tout cela. Elle
est là, pourquoi les dirigeants de cet Etat de droit ne donnent pas les ordres
pour établir une concertation pour leurs actions ?
Nos ennemis jurés, vu le nombre
de morts, le mot n’est pas trop fort, le savent comme je le sais moi-même. Ils
doivent se marrer quand ils nous voient nous débattre dans tout ce fracas. S’il
y avait une stratégie à décrypter chez notre ennemi. Où frapper ? D’abord
Paris, normal la capitale, mais aussi le blasphème, cette arrogance des
journalistes qui ailleurs seraient emprisonnés pour des faits similaires,
peut-être décapités. Paris frappé de nouveau, Bataclan, caisse de résonnance
mondiale. Nice, Estrosi est visé pour avoir trop parlé comme à l’accoutumée.
Rouen, voisine de M. Fillon qui dit des choses justes et qui ne plaisent pas…. On
pourrait lire : deux frappes à gauche et deux frappes à droite. Le
prochain cas ? C’est Lyon, pour sa neutralité, le calme relatif de la cité.
Ensuite, Bayonne peut être Bordeaux, terres de M. Juppé même si on ne l’entend
pas. En fait je ne sais pas, mais à la place de l’ennemi, je penserai comme
cela. On réagit. On n’anticipe pas, donc on ne gouverne pas.
A chaque attentat, on voit après
enquête qu’il faut du temps et des moyens pour en préparer projet. Le
renseignement et ses recoupements permettrait de repérer tous les mouvements
suspects. Cela amputerait sans doute quelques bribes de liberté de tous les
administrés. Mais alors on pourrait mettre de l’ordre dans les quartiers dans
lesquels la loi, l’état de droit n’existe plus ?
Allons-nous former en Israël, ils
sont champions pour cela. Mettre des moyens donc des formations, peut-être des
emplois à créer, pour tenter d’arrêter le mouvement d’exaspération qui va nous
mener tout droit à des actes de vendetta. A force d’exaspération aussi ce sont
les français qui vont se radicaliser. Alors, ce sera encore moins simple de
vivre dans les quartiers.
J’ai noté que les Corses ont déjà
annoncé qu’il valait mieux à « l’ennemi » de ne pas s’aventurer sur
les terres de L’île de Beauté…
Voilà pour le court terme. Pour
le plus long, c’est là que l’éducation doit prendre le relai avec la justice
pour équilibrer la Nation qui s’est délitée. Non pas pour suivre les
incantations de l’arrogante ministre de l’Education. Mais former correctement
les enfants en revoyant clairement ce qui doit l’être pour remobiliser l’union
de la Nation. Pour leur donner une chance véritable de pouvoir un jour se
diriger. Faire que la Justice prenne le
temps de punir tous les ministres qui n’ont pas fait leur travail ou ont fait
le contraire de ce qu’ils recommandaient. La gauche est faible, la droite hurle
maintenant alors qu’elle a gouverné. Au pouvoir, elle n’a rien fait d’autre que
de profiter du temps qui est passé, sans idées et nous emmener vers un déclin
aujourd’hui fortement engagé. Chaque jour on découvre des passe-droits, des
copinages à tous les endroits où la clarté et la transparence devraient
régner. Les élus une fois en place
gaspillent l’argent qui leur est confié. A nous
de nous faire respecter. De dire que c’est assez et d’agir pour le faire
savoir. A nous les citoyens de nous prendre en charge. Les Islandais l’ont
fait, pourquoi pas nous ? C’est vrai de cette révolution du peuple, pas
grand monde n’en n’a parlé…. Les médias ne font plus leur métier, ils
n’informent plus, ils s’autocensurent quand cela pourrait donner de belles
idées !
Michel Prieu
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire