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A10 - Saint-Etienne-du-Rouvray c'est assez! (27-7-16)

Choquant, ça rime avec Rouen. Choquant de voir un prêtre égorgé dans son église au moment de la messe. Comment ne pas penser à ce qui se passait durant les heures sombres des guerres de religion ? Pour le coup cela rime avec radicalisation.

J’ai ouvert le poste un moment sur I<TELE et je l’ai vite refermé. Rien de plus insupportable qu’un journaliste qui n’a aucune information et qui doit tenir l’antenne parce que c’est son gagne-pain. Qu’il faut pour je ne sais quelle raison donner immédiatement une information. Pour moi cela rime aussi avec désinformation.

J’ai eu le temps de voir que le Président était là. Il fait du social ou de la communication alors que depuis le massacre de Charlie Hebdo, il aurait dû être en conclave pour trouver des solutions aux problèmes de sécurité de notre Nation.

Cela rime toujours avec radicalisation, ce mot paravent, qui évite toute autre spécification. Ce mot ne veut rien dire, la langue française, poussée par les médias invente des mots qui n’ont pas de sens. Je comprends derrière ces mots qu’il y a des gens, musulmans ou pas mais qui le deviennent pour propager les thèses et actes délictueux de la mouvance salafiste.  J’entends tout de même que l’on parle de guerre. Ce qui m’ennuie c’est que nos politiques n’en prennent même pas la mesure.

Toujours les mêmes mots pour endormir une opinion qui se terre dans ses peurs et ne demande pas d’autre réaction. Ces allures contrites et convenues quand les drames imprévus sont survenus. A quoi servira un hommage de la Nation si pendant ce temps rien n’est fait pour endiguer de nouveaux méfaits. A longueur de journée, les images de la télé montrent les bouquets sur les pavés, c’est preuve de compatissons mais cela ne suffit pas pour faire bloc et montrer que nous avons besoin d’actions et de résultats. Je crois aussi que cela permet de passer de la publicité. Il est fait commerce de la peine des gens victimes de la folie destructrice d’une minorité incontrôlée.

Il me semble qu’un général d’armée quand il veut gagner une bataille et ensuite la guerre, prépare une stratégie pour en tirer un plan de bataille qu’il partage avec quelques alliés. Après tout la Belgique et l’Allemagne sont dans le même bain. Attendez voir comment cela va se passer avec les remaniements prévus en Turquie. Erdogan aussi fera des radicalisés.

Français, secoués, attaqués, on pleure et on se lamente depuis plus d’un an et nous n’avons rien fait. Nous n’avons surtout pas entendu les musulmans « modérés » tenter de nous aider. Eux-mêmes sont attaqués sur leurs fondements. Leurs courants les empêchent de bouger, sunnites, chiites, salafistes, soufis…qui va décider d’amender le Livre Fondamental ? C’est vrai que ceux qui tentent d’en propager la moindre pensée sont vite éliminés…

Car c’est avec cela que vient la guerre de religion dont on ne veut pas dire le nom. On n’en est pas encore dira-t-on encore une fois, mais Saint-Etienne-du-Rouvray cela y ressemble bigrement. Un symbole en tout cas.

Donc le Président est présent, mâchoires serrée, tête basse il s’est montré, prosterné, informé et communiqué, à chaud pour tenter de gagner encore quelques voix. Tous ses ministres suivent ses pas. Que va-t-il faire enfin pour les Français ?

Va -t-il décider d’envoyer « les fichés S » de tous les quartiers (encore un mot que je hais) vers certains pays du Moyen Orient pour rendre la monnaie de leurs pièces à des gouvernements qui financent le monde du terrorisme depuis des décennies. Cela aurait le mérite de faire réfléchir ces pays pour quelques décennies. Mettre la pagaille chez eux et serait peut-être plus simple que de mettre de l’ordre chez soi.

Pour exemple, pourrait-il inciter le Qatar à vendre le PSG et lui demander de financer des cachots pour enfermer ceux qui ont décidé de partir au Jihad ou qui en reviennent sans que l’on nous prévienne ? Et qu’on laisse déambuler sans les surveiller de près ?

Je vous bassine au cours de mes voyages en vous parlant du changement de comportement des gens lorsque je cherche à placer en début de conversation « France » ou « Paris ». Partout je trouve que l’on se réjouit mais pas au Maghreb depuis quelque temps. Quand le tourisme amenait de l’argent cela existait encore, ils prenaient plaisir à tenter d’en prendre plus que l’on ne voulait leur en laisser. Mais les comportements commencent à se tendre. Plusieurs fois depuis deux ans, on m’a fait comprendre que je ferai mieux de retourner d’où je viens ; avant ce n’était jamais arrivé depuis 16 ans que j’y vais. Pendant 20 ans, j’ai dirigé avec respect des ressortissants de tous les pays arabes, qui viennent nous aider à souder ou forger. Beaux métiers, durs et qui sentent mauvais, que ne veulent plus faire les français depuis belle lurette.

Revenons à L’Histoire de France. Qu’on le veuille ou non, aujourd’hui facile de constater que la colonisation ou le protectorat a fait des dégâts. Les élites encore en place, formées pour la plupart en France ou par des français ont une certaine condescendance pour leurs coreligionnaires qui n’ont pas étudié. La langue arabe ne permet pas de sortir du ghetto intellectuel de la contrainte du Coran qui organise leur vie toute entière. Par-dessus le marché, lâchement, nous leur avons laissé une administration dont la compétence est sujette à caution. Pour obtenir un papier, même après avoir donné l’obole règlementaire, mieux vaut être bien armé …, de patience en particulier. Comment leurs ancêtres, leurs pères pourraient nous aimer ?

Les gens qui ont émigré, même ceux qui nous ont aidé n’ont pas toujours été bien accueillis et de cela est né un ressentiment vis à vis de la France, de ceux qui y habitent et paraissent privilégiés.

Dans nos villes, il y a de jeunes gens de nationalité française et d’origine étrangère, maghrébine en particulier, qui savent pertinemment que leur avenir est bouché. Cela quel que soit le niveau d’études qu’ils auront atteint. Une fois diplômé leur carte d’identité les condamne à être rejetés.
  
Ceux qui ont réussi à faire souche ici ont des familles encore au pays auxquels ils envoient régulièrement des subsides non négligeables qui gonflent sensiblement le revenu du pays de leurs aïeux. Ce qui en fin de mois ne fait pas toujours la joie des français qui voient cet argent partir « là-bas ». Au plan social vis à vis de cette population, les assistantes en font plus pour dédouaner notre administration donnant conseils et avantages avec plus de précision qu’elles ne le font pour des français moins enclins à se plaindre et à réclamer. L’aumône n’est pas dans leurs idées, mais alimente un sentiment d’injustice de la société, créé un ressentiment de défiance latent face aux musulmans. Une fracture sensible de la société car l’on se souvient des récits des croisades. Dans nos écoles, fut un temps, on nous en parlait pas avec les nuances que l’on pourrait souhaiter de l’Histoire et de ses vérités…

Quand vous n’avez pas de travail, que tout semble bouché, comment est-il possible d’exister ? Comment pouvez-vous vous estimer ? En vendant de la drogue, devenant souteneur de vos sœurs au sein de la cité ou bien de décider de vous trouver un but : vous venger, vous venger de cette société qui vous a rejeté. 

Nos jeunes gens français, bien nés, après le Bac peuvent encore décider de s’inscrire dans une Université en Europe ou aux Usa. Un jeune maghrébin ne le peut pas. Trop dur pour lui ; apprendre une quatrième culture est au-dessus de ses forces. Il ne peut pas rentrer au pays non plus, ses codes parentaux sont dépassés et on ne l’y aime plus. Passez un moment de juillet à septembre à Marrakech ou Agadir et vous pourrez mieux comprendre…

Une chose que l’on oublie et qui me choque aussi, mais dont personne ne parle, c’est ce que porte au fond d’elle-même la langue française. J’ai dit dans un autre article que la langue est le ciment d’un pays. La langue française est plus que cela. Ce fut à un long moment le langage diplomatique. La langue des puissants. Dans toutes les cours d’Europe, on parlait le français qui avait remplacé le latin. A Londres, à Cardiff ou à Perth ou Christchurch les gens aujourd’hui parle encore français même s’il le prononce mal et ne retiennent que nos onomatopées, (oulala, aïeaïeaïe…, dans quoi me suis-je engagé ?).

Trêve de plaisanterie, un américain a noté que notre langue qui éclaire l’esprit de l’époque des Lumières est haï par les salafistes. La laïcité est née de Voltaire et Diderot…, la séparation de l’Eglise et de l’Etat, c’est ce que le Coran ne veut pas. Notre langue est porteuse de Liberté, d’Egalité et de Fraternité, c’est notre Histoire de France qui veut cela.

Si les anglais ont voulu la déformer, c’est pour la singer avant de se l’accaparer et de l’imposer à notre place. Joli tour de passe-passe. Mais les autres peuples l’ont jugée différemment, les musulmans la combattent savamment. Leurs élites sont contestées, justement parce qu’elles l’ont apprise. Ils pensent toujours avec elle et ses fondements, leurs concitoyens le leur reprochent ouvertement. Ainsi, les couches actives de la mouvance islamiste (même modérée) se mobilisent pour l’arabisation dès le plus jeune âge de l’éducation. Hassan II l’a fait, même si son fils aujourd’hui, a fait machine arrière. Sans langue de stature internationale les jeunes du pays ne peuvent avancer dans leurs idées ; étudier à l’université demande de se préparer car tous les professeurs sont formés en grande partie à l’étranger.

Le français est aussi entré à l’Eglise avec le concile Vatican II, en remplacement du latin. Si dans les mosquées salafistes que nous avons laissé se monter, sans les contrôler, par facilité, les imams haranguent les jeunes esprits, les anciens ne disent rien. Dans leur subconscient, ils savent que notre langue a détruit une part de leur vie. Elle a introduit dans le pays d’origine bien des déconvenues passées et présentes. Avant d’émigrer, ils ont été dépréciés, battus, colonisés et maintenant ils sont rejetés. De plus, aujourd’hui l’ascenseur social espéré ne leur donne pas les moyens de s’intégrer. Ils se sentent trompés, nos pratiques les ont ghettoïsés. Un terreau pour se révolter, pour instrumentaliser leur haine pour notre société, dans laquelle la religion n’est pas si éloignée. Toute notre culture en est imprégnée. Le plus pur des athées fait appel à Dieu dès qu’il est embêté.
En façade, nous avons laissé périr notre esprit religieux. Les églises se sont dépeuplées.  Sous couvert de laïcité la plupart d’entre nous s’est laissée mener par un consumérisme effréné et un individualisme exacerbé. L’organisation a horreur du vide, les communautés émigrées se sont formées. Remarquez bien que nous ne faisons pas autre chose quand nous sommes à l’étranger. Même d’horizons différents, on cherche à se regrouper entre français…pour tenter d’exister. Une Union des Français de l’Etranger est en place grâce à de bonnes volontés, avec des députés et des sénateurs pour les représenter.

Avant 68, l’esprit religieux plus formel aujourd’hui servait à équilibrer l’éducation de l’école publique. On entendait des choses similaires à l’église et à l’école de la République. La morale était entendue à défaut d’être comprise, mais elle existait. C’était un sujet avant de commencer la classe, chaque matin. Aujourd’hui rien de cela, le marketing sauvage a dévalué la pensée spirituelle. Et la « morale » à défaut d’instruction civique, c’était cela, un moyen de créer une certaine unité. Je ne dis pas qu’il faut recommencer comme cela. L’Histoire ne se répète pas, mais trouver une autre forme pourrait aider à reformer une certaine union, revenir à de vraies responsabilités individuelles et collectives.  Pour bien des gens, l’esprit de la République ne va pas de soi. Or un homme qui ne pense pas par lui-même est une âme incapable de se diriger. Nous en sommes là, je sais, c’est ringard de penser comme cela. Notez que j’ai parlé de religion car pour y entrer on est accompagné, alors maintenant que Malraux est mort, aborder la spiritualité du siècle en cours serait un plus vaste sujet. Entré dans le débat peut-être serait-il capable de refaire l’unité des français, remarquez !

Pour espérer, se projeter dans un proche avenir, le chômage n’arrange rien ni l’assistance sociale. L’un et l’autre vous renvoie à un manque d’estime de soi. Il vous confine dans des endroits où vous n’existez pas, où l’on ne vous voie pas. C’est vrai quand vous êtes cadres, certains n’y résistent pas, alors pensez donc si vous êtes employé ou ouvrier et des fois même pas cela. Vous n’existez pas, alors vous cherchez une voie pour vous retrouver et le mieux est de se désigner un ennemi : la société qui vous a humiliée.

Une dernière chose m’a rendu malade il n’y a pas longtemps. Je veux évoquer la douleur d’une maman et de son grand fils élevé dans le meilleur esprit, scolaire, sportif, culturel et qui pourtant s’est tourné vers une mosquée. Ce n’est pas un terroriste. Cependant, élevé dans le sérail de la religion catholique, il a plongé dans le culte musulman pour trouver m’a-t-il dit « des réponses à ses questions ». Nous en sommes là. Ce n’est pas de la radicalisation, c’est le résultat d’une éducation gauchisante qui refuse l’Histoire d’un pays, en croyant que c’est mieux ailleurs. On regardait en URSS, le phare s’est éteint. Le libéralisme est-il une panacée ? On regarde vers l’Allemagne ou en Grande Bretagne, on cherche un système au lieu de s’atteler à un travail génial : comment la France de maintenant, avec ses vieux cons (dont je suis évidemment) et ses jeunes gens plein d’allant, pourrait repartir de l’avant en s’appuyant sur ce qu’elle a de meilleur, l’Histoire qui fait encore sa grandeur.

Il y en a assez de se voir pris pour des demeurés par des élites qui n’ont vécu que dans des fauteuils qui leur sont prêtés par des vieux maîtres sans idées qui ont prospéré au frais des administrés. Ils ne connaissent rien de la vie du pays. Ne regardent que Paris. Pour diriger la vie de ce pays, on s’appuie encore sur des partis ? Quelle légitimité ont-ils ? 500000 personnes ? un million d’encartés de droite ou de gauche ont-ils le droit de représenter 65 millions de personnes ?

Les citoyens sont responsables de cet état de fait : ils ont démissionné. Alors ne pas les embêter, ne pas les déranger en voulant changer, sans doute cela arrange bien des anciens. Mais quid des jeunes gens et plus loin des petits enfants ? Les idées de droite ou de gauche ne pourront rien modifier. Tout le monde est d’accord, les médias le répètent à l’envie instantanément, la polémique suit, car les hommes de plume et de micro, n’ont plus de pamphlets pour d’autres avenirs à nous instiller.

Saint-Etienne-du-Rouvray, c’est assez. Il nous faut une analyse et mettre en place les changements qui pourraient faire reculer « l’ennemi ».

Qui est-il, si l’on parle de guerre ? Qui est capable de l’identifier ? d’en décrire les froidement la stratégie ? Daesh ou EI est une entité qui revendique tout ce qui peut faire du bruit pour lui permettre d’exister. Or, l’ennemi est aussi rampant, tapis dans l’ombre de nos villes comme je l’ai dit. Peut-être faut-il frapper en Syrie, mais si l’on ne fait rien ici, c’est peine perdue puisqu’une part de l’ennemi, c’est la France elle-même qui l’a élevé et le nourrit encore.

Quand aura-t-on un chef pour nous diriger ? Quand va-t-on mettre en place les hommes compétents au service du renseignement ? Quand va-t-on retrouver des villes et des villages où l’on peut entrer en toute tranquillité ? Comment commencer à traiter les sujets faciles pour créer un début d’unité ? Cet état d’urgence a-t-il une efficacité sans donner des ordres complets pour faire coopérer toutes les unités chargées de notre sécurité. Les Marocains ont trouvé. Ils se sont donnés les moyens de quadriller la vie de chaque quartier de chaque ville pendant que Sarkozy supprimait les services de Renseignements Généraux. L’exécutif suivant a trouvé cela correct et ne les a pas encore remis en place.

Que dire de l’antagonisme des services de la Nation, police, gendarmerie, pompiers, urgentistes qui ne coopèrent pas. Faut-il une guerre pour remettre au gout du jour tout cela. Elle est là, pourquoi les dirigeants de cet Etat de droit ne donnent pas les ordres pour établir une concertation pour leurs actions ?

Nos ennemis jurés, vu le nombre de morts, le mot n’est pas trop fort, le savent comme je le sais moi-même. Ils doivent se marrer quand ils nous voient nous débattre dans tout ce fracas. S’il y avait une stratégie à décrypter chez notre ennemi. Où frapper ? D’abord Paris, normal la capitale, mais aussi le blasphème, cette arrogance des journalistes qui ailleurs seraient emprisonnés pour des faits similaires, peut-être décapités. Paris frappé de nouveau, Bataclan, caisse de résonnance mondiale. Nice, Estrosi est visé pour avoir trop parlé comme à l’accoutumée. Rouen, voisine de M. Fillon qui dit des choses justes et qui ne plaisent pas…. On pourrait lire : deux frappes à gauche et deux frappes à droite. Le prochain cas ? C’est Lyon, pour sa neutralité, le calme relatif de la cité. Ensuite, Bayonne peut être Bordeaux, terres de M. Juppé même si on ne l’entend pas. En fait je ne sais pas, mais à la place de l’ennemi, je penserai comme cela. On réagit. On n’anticipe pas, donc on ne gouverne pas.

A chaque attentat, on voit après enquête qu’il faut du temps et des moyens pour en préparer projet. Le renseignement et ses recoupements permettrait de repérer tous les mouvements suspects. Cela amputerait sans doute quelques bribes de liberté de tous les administrés. Mais alors on pourrait mettre de l’ordre dans les quartiers dans lesquels la loi, l’état de droit n’existe plus ?

Allons-nous former en Israël, ils sont champions pour cela. Mettre des moyens donc des formations, peut-être des emplois à créer, pour tenter d’arrêter le mouvement d’exaspération qui va nous mener tout droit à des actes de vendetta. A force d’exaspération aussi ce sont les français qui vont se radicaliser. Alors, ce sera encore moins simple de vivre dans les quartiers.

J’ai noté que les Corses ont déjà annoncé qu’il valait mieux à « l’ennemi » de ne pas s’aventurer sur les terres de L’île de Beauté…

Voilà pour le court terme. Pour le plus long, c’est là que l’éducation doit prendre le relai avec la justice pour équilibrer la Nation qui s’est délitée. Non pas pour suivre les incantations de l’arrogante ministre de l’Education. Mais former correctement les enfants en revoyant clairement ce qui doit l’être pour remobiliser l’union de la Nation. Pour leur donner une chance véritable de pouvoir un jour se diriger.  Faire que la Justice prenne le temps de punir tous les ministres qui n’ont pas fait leur travail ou ont fait le contraire de ce qu’ils recommandaient. La gauche est faible, la droite hurle maintenant alors qu’elle a gouverné. Au pouvoir, elle n’a rien fait d’autre que de profiter du temps qui est passé, sans idées et nous emmener vers un déclin aujourd’hui fortement engagé. Chaque jour on découvre des passe-droits, des copinages à tous les endroits où la clarté et la transparence devraient régner.  Les élus une fois en place gaspillent l’argent qui leur est confié. A nous de nous faire respecter. De dire que c’est assez et d’agir pour le faire savoir. A nous les citoyens de nous prendre en charge. Les Islandais l’ont fait, pourquoi pas nous ? C’est vrai de cette révolution du peuple, pas grand monde n’en n’a parlé…. Les médias ne font plus leur métier, ils n’informent plus, ils s’autocensurent quand cela pourrait donner de belles idées !



Michel Prieu

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