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A41 - Forger sa vie (Oser savoir) (2-08-18)



Bonjour, 

Merci d'être passé sur cette page... C'est mon dernier livre, le troisième d'autres viendront encore pour poursuivre mon idée de marcher vers un monde meilleur.

Je lutte autant que je le peux contre l'ignorance, l'aversion et l'addiction. je ne suis pas bouddhiste, simplement humaniste.

Ici je veux montrer aux plus jeunes que rien n'est impossible que l'on peut vivre tous ses rêves à condition d'en faire soi-même ses choix. Chacun peut faire sa trace en respectant les autres. Evidemment cela demande quelques efforts, sortir de son confort. La chance et le hasard n'existent pas tout est toujours parfait.

Ouvrir les yeux, observer, faire surtout et réussir un peu et beaucoup se tromper. Accepter les épreuves, se relever et repartir de plus belle...

C'est à suivre ce chemin que je vous invite... maintenant forgez votre vie ou dessinez la mais faites votre choix. personne ne le fera à votre place. Le monde vous attend , vous n'êtes pas né pour rien, vous tenez en main la vie que vous voulez!

Je vous offre la Préface..........





FORGER SA VIE


Oser savoir



Préface



Amie lectrice, cher lecteur,


Je n’aurai jamais dû vous parler ainsi. Tout jeune ma ligne d’horizon était de ma maison à peine plus éloignée du clocher de l’église de mon village au pied de la colline et des bois du pied-mont des Pyrénées.

Le milieu du siècle dernier ma ouvert à la vie et j’ai suivi la formidable embellie des sciences et des techniques qui ont illustré le progrès tel que je le comprenais. J’ai vu le jour dans une famille sereine qui m’a donné les clés de la vie avec sincérité. Un message simple pour tout viatique que j’ai traduit sans doute dès mon plus jeune âge avec optimisme et les yeux grands ouverts sur cette transition incroyable qui a changé le monde en quelques années alors que l’Histoire me racontait qu’un long moment il était presque figé.

Un émerveillement en découvrant la philosophie des anciens pour me demander comment avaient-ils pu avoir des idées si hautes qui ont bâti l’âme des hommes avec si peu de moyens pour mesurer la portée de leurs pensées. Un mystère que je voulais élucider, une recherche qui m’a donné l’envie d’écouter ce que mes parents et mes maîtres allaient me raconter.

C’est ce long témoignage de ma vie que je souhaite vous raconter pour montrer aux jeunes gens que rien, jamais n’est déterminé. Que personne ne peut décider de qui l’on est. J’ai eu l’impression d’entrer dans un monde qui était organisé pour que je puisse grandir en toute sécurité. Je m’y suis promené au gré de mes rêves et de mes pensées.

Mon ambition initiale n’avait rien d’original, imiter mon père me suffisait. Les maîtres de l’école m’ont donné une clé que j’ai utilisée sans jamais l’user. Elle est toujours aussi belle et me garde la santé j’en suis persuadé : l’amour d’apprendre sans arrêt.

Cet amour de la nouveauté m’a fait faire de rencontres que vous ne pouvez imaginer. Des hommes et des femmes qui m’ont donné l’envie de me lancer dans des sentiers inconnus. Ils m’ont ouvert des portes pour entrer dans des domaines que j’ai pris plaisir à explorer. Certains par inadvertance m’on donné le goût de lire, d’autres de faire du sport avec un grand équilibre.

C’est sans doute qu’ainsi mon ambition est née et m'a donné le plaisir de découvrir le monde qui se présentait, d’en être émerveillé et oser m’aventurer sur des chemins pas encore balisés. Le monde d’aujourd’hui va de plus en plus vite; nous sommes envahis d’information, cette impression de chaos peut faire peur à beaucoup. Il me semble pourtant n’avoir que peu changé face à la transformation apportée par ce nouveau siècle et que la règle est toujours celle que j’ai appliquée: faire d’une difficulté une opportunité pour m’adapter.

Je vous parlerai de mes racines qui jamais ne m’ont quitté. Partout où j’ai posé les pieds le Pic du Midi de Bigorre ne fut jamais éloigné. Mon accent reste un sujet de sourire et ouvre des portes partout où je vais. J’ai choisi très tôt la voie que je voulais suivre dans la technique. Docile et appliqué j’avais sans doute la facilité d’étudier mais pas dans le domaine que mes professeurs avaient imaginé pour moi.

J’ai tout fait pour être bien noté parce que j’ai compris intuitivement que dans le moule de la société où l’on veut vous faire entrer, pour avoir le choix de faire ce que vous voulez, observez, apprenez et décidez vous aurez l’impression de vivre en liberté.

En premier c’est la technique qui me l’a montré. Je voulais ressembler à mon père et j’avais peur de ne pas savoir le faire. Aussi je suis parti de chez moi pour apprendre les rudiments technologiques qui pourraient m’aider. J’y ai trouvé des amis et aussi la joie de pouvoir me diriger loin de la famille qui peut parfois vous aliéner.

Partir le matin par le train avec une bande de copains donne rapidement l’impression d’être grand avant l’âge mais immédiatement vous demande de prendre votre responsabilité pour exister. Je ne me suis pas vu grandir mais rapidement nombre de décisions ont transformé mon destin.

Le changement souvent fait peur mais je pourrais dire en vrai que c’est le premier pas qui coûte. Un apprentissage salutaire qui fait découvrir son intuition. Vous prenez une porte qui s’ouvre à la dérobée sans savoir pourquoi et ce n’est que quelques temps après que vous découvrez que c’est une bonne idée ou pas. Vous découvrirez que cela m’est arrivé mainte fois dans des domaines si différents que j’ai encore parfois l’impression d’avoir eu mille vies.

Parti du village pour aller étudier je me suis accroché à tout ce qui m’était raconté. Mes professeurs me parlaient de choses qui m’intéressaient et avec mes camarades de classe j’avais de bons amis. J’ai suivi un cursus scolaire qui je peux le dire aujourd’hui ne s’est jamais arrêté. Alors que je vous écris ce petit mot pour vous inviter à me suivre dans les méandres de ma vie, je suis encore un étudiant curieux. J’ai osé savoir pour me diriger et je voudrais tant que mes petits enfants trouvent dans cette volonté et la possibilité de garder leur liberté de se diriger.

J’ai ainsi appris à changer la forme des molécules de matière et à y devenir maître pour aider mon père à résoudre certaines énigmes professionnelles et plus personnelles à la fin de sa vie . Une belle histoire terminée trop rapidement mais qui reste une image vivace de l’amour réciproque d’un fils et d’un père autour d’un métier partagé en toute sérénité. Sans doute une leçon de vie qui ne finit jamais.

L’ambition que j’avais acquise (je ne sais comment véritablement) était de toujours progresser. Inutile de vous dire combien je me suis régalé même s’il m’a fallu beaucoup travailler. Inévitablement lorsque vous élevez votre niveau de connaissances, cela vous entraîne dans l’encadrement et la conduite d’autres hommes. Et généralement on ne vous apprend pas cette fonction ou alors jamais complètement. C’est ainsi que j’ai découvert très tôt les différences entre les hommes et les femmes.

Petit j’avais appris des dames que j’aidais lors des corvées traditionnelles auxquelles j’aimais tant participer au moment des récoltes de fin d’été avant de repartir à l’école. J’avais entendu que les difficultés existaient dans les fermes mais pas une seconde dans les familles d’ouvriers. Voilà que tout d’un coup à l’usine, je découvrais que cela donnait du relief aux performances de chaque journée. 
Je suis reparti un jour à l’université pour compléter le bagage dont j’avais besoin pour mener un énorme projet. Coup sur coup un mentor généreux a donné un tour particulier à ma vie. J’ai appris que même individu, je faisais partie d’un système. Je ne remercierai jamais assez Jacques Christol  de m’avoir éclairé sur ce sujet. Pour être tout à fait honnête, j’ai appliqué ce qu’il m’a enseigné pour organiser la plupart de mes projets avec un relatif succès, mais ce n’est que vingt ans plus tard que j’ai compris la totalité du mystère qu’il m’avait enseigné.

Partout dans mes travaux je n’oubliais pas la Nature et les exigences qu’elle nous dictait. Le sport et la pêche à la truite, construire notre maison pour abriter ma petite famille et donner à mes fils la chance que j’avais eu de vivre à la campagne avaient le don de me garder en équilibre. J’étais sans arrêt en train de lire dans mes incessants voyages pour faire avancer les projets qui m’étaient confiés. Einstein comme Malraux me parlaient de l’Univers, de l’infiniment grand et de leur spiritualité. Leurs propos m’intriguaient et venaient bousculer mes idées en ce moment charnière où j’allais remplacer le travail des hommes par des robots.

Temps particulier dans lequel j’avais foncé tête baissée et où j’écoutais une dame me parler de ses difficultés récurrentes alors qu’elle menait un grand service dans l’hôpital voisin de l’Université. Son écoute plaintive allait me révéler une vérité qui allait alléger le reste de ma vie et me permettre d’avancer dans mes projets sans jamais regretter de prendre un chemin où je n’aurais jamais dû aller.

Il ne s’était pas passé deux mois qu’un nouveau tournant se présentait. Je devais prendre une année complète d’étude en système informatique. De l’infiniment grand j’allais plonger dans l’infiniment petit. Découvrir peu à peu que les deux mondes sont infinis et allaient m’ouvrir un peu plus à la philosophie. En quelques années mes connaissances sur l’évolution des molécules de matières étaient passées sur le registre de la matière grise. Le cerveau prenait pour mes projets de plus en plus d’importance et de temps en temps je me pinçais pour me demander si ma vie n’était pas un rêve éveillé.

Une fois de plus j’ai admis ce que l’on m’expliquait, sauf que je n’en ai pas fait non plus ce que tout le monde attendait. Je venais d’entrer dans un monde nouveau que j’avais décidé d’explorer. Je travaillais dans un cercle fermé, un cocon feutré et j’ai mené les projets jusqu’au moment où ils sont devenus opérationnels. J’ai démissionné de l’administration qui m’avait élevé. Le monde inconnu du privé m’attendait, je le sentais, j’avais besoin de plus de liberté pour faire de ma vie ce que je voulais.

Au cours de ces quelques années j’avais côtoyé des hommes et des femmes de grande qualité. J’avais réussi à fédérer des gens qui parfois ne s’aimaient pas vraiment et grâce à eux les projets se sont réalisés. Je voulais créer ma propre société et retrouver ma liberté. Pour valider mon projet je fis appel à un homme que j’admirais. En vrai j’aurais payé pour pouvoir travailler à ses côtés. Michel Hirner m’a écouté et au bout de deux heures de temps m’a demandé de l’aider à réaliser le lien entre ses ateliers disséminés en France et la gestion commerciale qui déjà existait en banlieue ouest de Paris.

J’ai couru toute la France pour le réaliser et cette épopée m’a ouvert des portes insoupçonnées. Je m’y suis engouffré pour au bout de peu de temps, m’embarquer dans l’innovation d’un logiciel inédit de gestion de production avec des amis que j’avais sélectionnés. Je participais à l’organisation d’usines en créant un nouveau métier. Je devenais professeur à l’Université et dans une école privée pour former les jeunes gens aux nouveaux métiers qui arrivaient sur le marché.

Dans ce tourbillon que je vous raconte avec assez de précision pour que vous puissiez imaginer les émotions qui nous étreignaient et la belle vie que l’on avait, un jour je me trouvais coincé. Un projet m’avait conduit à proposer pour sauver une usine qui périclitait sur son marché de tout réorganiser avant d’informatiser. Sujet difficile à un moment où la mondialisation arrivait et donnait les premiers signes du déclin industriel français. La direction était prête à me suivre avec mes idées mais voulait que je prenne la direction des opérations de transformation. Le petit apprenti forgeron acceptait de prendre la mission de directeur de production.

Cette fois il fallait aussi sortir la famille de son confort et s’expatrier dans une région où j’avais tout fait pour ne pas aller. L’ambition en France vous fait toujours passer par Paris. Tout mon petit monde est parti pour une nouvelle vie. En me retournant de temps en temps je me disais que nous avions une belle vie. Les enfants grandissaient plutôt sagement, mon épouse travaillait pour elle aussi garder son autonomie. Le sport occupait notre vie et la culture ou la gastronomie n’étaient jamais oubliés. Je travaillais beaucoup certes mais je savais joindre l’utile à l’agréable. Le golf depuis la création de ma première entreprise avait pris de l’importance et j’y trouvais en plus du bricolage un équilibre à l’activité professionnelle qui me passionnait.

Plusieurs projets se sont enchaînés et notre vie de famille s’est enracinée dans les terres de Seine et Marne ou chacun s’est moulé. Les enfants à leur tour se sont envolés. Mon épouse et moi nous sommes retrouvés en Champagne pour s’y incruster et apprendre les bienfaits de cette région à nulle autre pareille. Sans le savoir j’avais atteint le sommet d’une courbe que la vie m’avait réservée. J’avais rêvé enfant d’une belle vie et je pouvais la contempler, je l’avais forgée comme je la voulais. Alors qu’il souffrait mille tourments, dans un élan venu je ne sais comment j’avais promis à mon père que  je serai un jour à la tête d’une usine de forge. J'y étais.

Einstein, Malraux avaient précédé Pythagore puis Planck dans mes pensées, j’avais des lectures multiples sur les sujets de la spiritualité mais intuitivement je venais d’expérimenter la synchronicité, la loi de l’intention dans toute sa complexité. L’univers s’était ligué pour me permettre de vivre une fois de plus ce que j’avais souhaité. Rester curieux et attentif à mes émotions sans le savoir véritablement favorisait mes projets. Mon optimisme ne m’a jamais quitté; dans mes échecs j’ai toujours trouvé une part d’intérêt positif qui chaque fois m'a sauvé de la peur ou de la honte que j’aurais pu éprouver. Oser est un verbe magique si vous apprenez avec le temps à l’apprivoiser. Avec lui vous pensez, vous vous préparez et vous vous lancez…au risque de vous planter.

C’est au sommet que cela m’est arrivé, un choix orgueilleux et mal placé. Un non-respect de ma réalité et tout a basculé. Peut-être que l’imposteur a été démasqué…Je vous laisse juger ou plutôt apprécier. Toujours est-il que la vie m’a demandé de tout recommencer. Retrouver les bases de qui j’étais. De revenir sur la mission que je pensais pouvoir être accomplie.

Muré pendant deux ans dans mes réflexions, incapable d’en parler à quiconque, confus dans mes pensées, j’ai tout jeté de mon passé et je suis parti au Maroc recommencer une vie nouvelle. En deux phrases j’ai tout dit mais j’ai fait bien pire en vérité vous le découvrirez. Episodes non censurés. J’ai fouillé au plus profond de mon être pour trouver ma vérité. La vie n’est pas une ligne droite comme je le pensais… vous verrez c’est gratiné. Beau et laid, l’humain est compliqué.

En fait la vie au Maroc m’a rendu des images de mon enfance que j’avais perdues. La Technique et le souci de performance demandé par la société m’avaient envoyé dans des sphères où je n’ai pas tout contrôlé. Heureusement pas à pas j’ai reconstruit ma vie ou des femmes et des hommes humbles m’ont aidé à remonter la rampe du ravin où j’étais tombé. Rien de tel que de faire pousser de l’herbe dans le désert pour cicatriser vos plaies. Celles-ci refermées mon naturel à repris le pas.

Je me suis mis à aider des jeunes gens qui voulaient devenir enseignants professionnels de golf. Enseigner vous apprend, c'est ce que j’ai souvent constaté. Enseigner vous demande aussi de continuer de progresser pour toujours suivre au plus près l’évolution de votre sujet préféré.

J’ai alors plongé au fond de moi pour connaître un peu mieux les ressorts de la performance, de la volonté et de la détermination pour passer le tout du mieux que je pouvais à ces jeunes garçons. Dans le même temps la technique m’a rattrapée et j’ai aidé des jeunes à assoir leur activité sur leur marché. Ainsi j’ai suivi l’évolution de ce beau pays du Maroc qui peu à peu se développe, écartelé entre un Moyen-âge campagnard bousculé par la frénésie d’un XXIème siècle qui anime ses grandes villes.

Expérience philosophique et religieuse aussi qui lorsque vous vivez au fond de la médina, blotti entre deux ou trois mosquées, vous oblige à vous rappeler d’où vous venez et où vous allez. Rencontrer des hommes qui vous parlent du courant soufi du Coran et cet autre maître d’art martial et du Feng Shui qui aime la poésie donne du sel à la vie. Un attentat à Marrakech ou les méfaits de Daesh dans un autre endroit vous pousse tout droit à explorer des voies, entendre des voix que parfois vous ne comprenez pas.

Au cours de ces années, j’ai réellement cessé de juger et de me lamenter pour passer à autre chose; penser à laisser une trace à mes enfants d’abord. Mes réflexions sont allées dans plusieurs directions car le monde est devenu complexe. Ce qui était linéaire quand j’étais enfant est devenu parallèle une fois plus grand et aujourd’hui la complexité est telle qu’il faudrait encore plus étudier pour pouvoir conserver un brin de liberté pour pouvoir décider de la meilleure voie pour se diriger.

Les valeurs qui dominaient au sortir de la guerre pour organiser au mieux la société se sont estompées par facilité dans ce temps de paix que peu de monde veut regarder avec l’acuité qu’il conviendrait. Dans le chaos pour s’en sortir, faire des choses simples et les multiplier est souvent conseillé. Revenir à parler de santé et d’éducation parait souvent compliqué alors que de toute part sortent des études qui montrent le bien-fondé de la prévention. Pourtant la vie nous montre que l’on s’échine à ne faire des efforts que dans le curatif. Le marketing et le lobbying viennent empoisonner la vie des gens au propre comme au figuré.

Se plaindre ne sert à rien alors j’ai décidé de parler plutôt que de râler. Peu importe la trace que je laisserai mais seulement si j’aide une personne à se relever de ses doutes je serai déjà récompensé. Alors je suis allé au bout de mon raisonnement. J’ai posé les bases de ce que j’aimerais voir se réaliser autour de moi pour que nous cessions de rêver à un monde meilleur et passer à un niveau supérieur : agir pour le faire naître autour de moi.

J’ai émis l’idée avec ce que j’ai appris que la famille disloquée sous les coups du laxisme et de la facilité devait reprendre des droits qu’elle léguait trop souvent à l’extérieur des murs de la maison. Je m’appuie sur les connaissances acquises pour noter qu’un enfant ne naît pas innocent et qu’il apprend pendant six ans sans les filtres qui pourraient le protéger de l’exemple bienveillant ou pas de ses parents.

J’ai appris bien trop tard des principes de soins anciens qui m’avaient été cachés, des idées simples pour ma santé physique et mentale, des pratiques ancestrales qui pourraient être enseignées aux petits enfants. Ces derniers sont plus délurés que nous ne l’étions. On pourrait leur confier quelques idées qui instantanément transformeraient la société.

Avec des "parents nouveaux" il serait plus facile d’apprendre et transformer ce qui peut l’être dans nos sociétés. Rien de parfait certainement mais qui permettrait de s’aimer un peu plus de développer cette estime de soi qui cache amour et confiance en soi pour aimer un peu plus l’autre. Le voisin mais aussi celui qui vient de loin. Français nous sommes déjà métissés, l’Histoire est la pour nous le montrer et la vie du monde va l’accélérer. Nous sommes tous connectés et pas simplement par nos téléphones ou nos ordinateurs, c’est ce que j’ai découvert grâce à la technique. La conscience m’en est venue avec le temps, trop tard à mon goût mais ce que je vous livre, je l’espère vous donnera envie d’aller plus loin.

Amie lectrice, cher lecteur, je ne sais pas si vous irez au bout de ce que j’ai décidé un jour de vous livrer de moi. Je l’ai fait sans retenue et sans peur, seulement pour preuve que sur cette terre chacun à sa mission. J’ai trouvé la mienne par intuition, merveilleux soutien de ses émotions. Curieux, pour enseigner je suis allé chercher dans les sciences un peu plus de conscience. J’ai fini par trouver et ce livre est la trame de mon avenir.

Toutes ces lignes sont le dessin et le dessein que je me suis fixé. L’école de l’avenir existe déjà par îlots ou embryons parfois, il faut juste les rassembler. Ne pas tout jeter mais adapter ce qui est nécessaire pour ouvrir l’esprit de tous aux fabuleux changements qui sont en train de se préparer. Tout va changer…

J’ai l’espoir de voir tout ce qui va se passer de bien plus haut mais j’aurai à coup sûr la joie d’y participer où que je serai.

Michel Prieu

............ SOMMAIRE


Préface

1-Racines                                               
2-Apprentissages                                       
3-La famille                                             
4-Soigner autrement                                
5-La peur de la mort                                 
6-L’infiniment petit                                    
7-Le tournant                                        
8-L’amour de soi                                       
9-Les chemins de l’autre                            
10-Chute et réflexion                                 
11-Un autre chemin                                
12-Une autre vision                                  
14-Enseigner autrement                            
Remerciements
Bibliographie



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3 commentaires:

  1. Michel
    Questions fondamentales de la vie, d'ou viens tu, ou vas tu et pourquoi faire ? Le socle reste la famille ou les racines se disseminent lentement lentement sorte d'identité génétique que l'on a plaisir a transmettre. Merci pour cette belle préface

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  2. Mon cher Tautor, c'est juste la famille nous accueille mais parfois il est bon de s'en éloigner un peu pour mieux se connaître. Elle a parfois un poids tel que dans tous les pays du monde elle ne fait pas toujours le bonheur de ses enfants. Partir s'est s'ouvrir, souffrir peut-être mais aussi avoir la joie de revenir et mieux aimer ses racines. Hasta la vista, proxima corrida!

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  3. Partir, c'est aussi revenir 1 jour et si en plus c'est ayant trouvé le chemin du bon terrain de jeu. Genre Christoballe ovale !
    De fil en aiguille, ça tombe enfin à pic et en plus ça vient du midi !
    Merci pour cette passe non feintée...
    Amitiés.
    Sergio

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